Hébreux 11:31: “C’est par la foi que Rahab la prostituée ne périt pas avec les rebelles, parce qu’elle avait reçu les espions avec bienveillance.”

Il existe certaines professions que nous associons à certains personnages bibliques. 

Le simple fait de prononcer un nom particulier nous fait immédiatement penser à une certaine profession.

Abraham était berger. 

David était berger.

Néhémie était échanson. 

Ésaïe était prophète.

Pierre était pêcheur. 

Hérode était roi.

Esther était reine. 

Matthieu était collecteur d’impôts. 

Caïphe était grand prêtre. 

Joseph (NT) était charpentier. 

Paul était fabricant de tentes.

Lydia était marchande de pourpre. 

Le cas le plus étrange est peut-être celui de Rahab.

Quand on mentionne son nom, une seule et unique profession vient immédiatement à l’esprit. Rahab était une prostituée.

Elle vendait son corps pour de l’argent dans ce qui est parfois considéré comme le plus vieux métier du monde.

Qu’il s’agisse ou non du plus ancien moyen de gagner de l’argent, la prostitution existe depuis des milliers d’années.

La Bible n’hésite pas à mentionner la profession de Rahab et ne cherche pas à la dissimuler.

La première fois que nous la rencontrons, dans Josué 2:1, elle est appelée “une prostituée nommée Rahab.”

Elle est appelée “Rahab la prostituée” dans Josué 6:17 et à nouveau dans 6:25.

Si cela ne suffit pas, son métier est mentionné à deux reprises dans le Nouveau Testament:

Hébreux 11:31: “C’est par la foi que Rahab la prostituée ne périt pas avec les rebelles, parce qu’elle avait reçu les espions avec bienveillance.”

Jacques 2:25: “Rahab la prostituée ne fut-elle pas également justifiée par les oeuvres, lorsqu’elle reçut les messagers et qu’elle les fit partir par un autre chemin?”

Cela fait cinq fois au total, alors qu’une seule fois suffirait.

Il semble que Dieu veuille que nous pensions à “prostituée” lorsque nous pensons à Rahab. 

Ce n’est pas une réalité facile à accepter pour nous.

Rahab avait probablement perdu tout espoir de pouvoir changer sa vie. 

Mais Dieu avait d’autres plans.

Il peut transformer la honte en gloire en un instant de rédemption éclatant. 

Le récit biblique ne nous donne pas beaucoup de détails sur Rahab. 

Nous savons qu’elle vivait à Jéricho, près des remparts de la ville.

Elle était manifestement bien connue des hommes de la ville, car les deux espions n’ont eu aucun mal à trouver sa maison et le roi de Jéricho savait qui elle était et où elle vivait.

Mais il y a beaucoup de choses que nous ignorons à son sujet. 

Nous ne savons pas comment elle est devenue prostituée.

Nous ne connaissons pas ses antécédents familiaux.

Nous ne connaissons pas sa religion, sauf qu’elle n’a pas été élevée dans la foi en Dieu telle qu’elle est décrite dans la Bible.

Nous ne savons pas si elle aspirait à une vie meilleure lorsque les deux espions sont venus chez elle.

Tout cela rend le fait suivant encore plus surprenant.

La Bible mentionne Rahab, la prostituée, comme une héroïne de la foi. 

Elle figure au Panthéon dans Hébreux 11.

Pensez à cette liste: Abel, Enoch, Noé, Abraham, Sarah, Isaac, Jacob, Joseph, Moïse et maintenant Rahab!

Hébreux 11:32: “Et que dirai-je encore? Car le temps me manquerait pour parler de Gédéon, de Barak, de Samson, de Jephthé, de David, de Samuel, et des prophètes.”

Cela signifie que Rahab, la prostituée, est en très bonne compagnie.

Elle côtoie l’homme qui a construit l’arche (Noé), le père de la foi (Abraham), l’homme qui a conduit les Juifs hors d’Égypte (Moïse), le doux chanteur d’Israël (David), et elle côtoie Ésaïe, Jérémie, Daniel et tous les autres grands héros de l’Ancien Testament.

Notons que Rahab “était” une prostituée. 

C’est ce qu’elle était.

Mais grâce à la grâce de Dieu, elle est devenue une femme de foi.

Elle a eu un début désespéré.

Quels étaient les obstacles auxquels Rahab était confrontée?

Tout d’abord, elle était une femme dans un monde où les femmes étaient souvent maltraitées, dévalorisées et considérées comme acquises.

Il est donc remarquable que l’auteur de l’épître aux Hébreux ait choisi deux femmes, et seulement deux, pour mettre en avant: Sarah, l’épouse d’Abraham, et Rahab, la prostituée.

En incluant une femme comme celle-ci, l’auteur veut nous faire comprendre que tous sont égaux au pied de la croix, et que même à cette époque où les femmes étaient dévalorisées, elles pouvaient être intégrées à part entière dans la communauté des croyants, au même titre que les hommes.

Deuxièmement, elle était prostituée.

Certains souhaitent minimiser ce fait et cherchent à en atténuer l’impact en traduisant le mot par “aubergiste,” mais cela n’est pas nécessaire.

Le fait qu’elle était prostituée magnifie la grâce de Dieu en démontrant que même les plus humbles peuvent trouver une place dans la famille de Dieu.

La grâce est pour les pécheurs, et seuls les pécheurs ont besoin d’être sauvés. Rahab est donc un symbole d’espoir pour tous les hommes et toutes les femmes brisés, blessés, meurtris et déchus qui se regardent dans le miroir et pensent: “Il n’y a aucun espoir pour moi.”

Si nous ressentons cela, pensons alors que Rahab était une prostituée et qu’en ce moment même, elle est au paradis.

Si Dieu a pu la sauver, il peut certainement nous sauver.

Troisièmement, elle était païenne, étrangère, élevée dans une religion païenne.

En tant que telle, elle n’appartenait pas au peuple d’Israël, et pourtant, par la foi, elle a été acceptée par Dieu et par son peuple, et lorsque la grande attaque contre Jéricho a eu lieu, elle a été épargnée tandis que la ville autour d’elle était détruite.

Sa vie illustre la promesse faite par Dieu à Abraham (Genèse 12:1-3) selon laquelle toutes les nations de la terre seraient bénies à travers ses descendants.

Genèse 12:1-3: “L’Éternel dit à Abram: Va-t-en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai. Je ferai de toi une grande nation, et je te bénirai; je rendrai ton nom grand, et tu seras une source de bénédiction. Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi.”

Il lui était difficile d’y croire, et nous pouvons imaginer de nombreuses raisons pour lesquelles elle n’y croyait pas.

Elle a certainement pris un grand risque en hébergeant les espions et en les renvoyant par un autre chemin, et en refusant de dire à son peuple où se trouvaient les deux espions et en envoyant les soldats sur une fausse piste qui menait au Jourdain.

Pourquoi a-t-elle agi ainsi?

Il y a deux façons de répondre à cette question, et elles mènent toutes deux à la même conclusion.

Josué 2:9-13 nous dit qu’elle et tout le peuple de Jéricho avaient entendu des récits sur la façon dont Dieu avait délivré son peuple à travers la mer Rouge et lui avait donné la victoire sur les rois amoréens.

Josué 2:9-13: “et leur dit: L’Éternel, je le sais, vous a donné ce pays, la terreur que vous inspirez nous a saisis, et tous les habitants du pays tremblent devant vous. Car nous avons appris comment, à votre sortie d’Égypte, l’Éternel a mis à sec devant vous les eaux de la mer Rouge, et comment vous avez traité les deux rois des Amoréens au delà du Jourdain, Sihon et Og, que vous avez dévoués par interdit. Nous l’avons appris, et nous avons perdu courage, et tous nos esprits sont abattus à votre aspect; car c’est l’Éternel, votre Dieu, qui est Dieu en haut dans les cieux et en bas sur la terre. Et maintenant, je vous prie, jurez-moi par l’Éternel que vous aurez pour la maison de mon père la même bonté que j’ai eue pour vous. Donnez-moi l’assurance que vous laisserez vivre mon père, ma mère, mes frères, mes soeurs, et tous ceux qui leur appartiennent, et que vous nous sauverez de la mort.”

Cela signifie que tout le monde à Jéricho était au courant dans une certaine mesure. Les rumeurs s’étaient répandues comme une traînée de poudre.

Mais seule Rahab avait eu la clairvoyance de croire que le Seigneur lui-même était à l’œuvre dans tout ce qui était arrivé aux Juifs.

D’où venait cette clairvoyance?

Les yeux de son cœur avaient été ouverts par le Saint-Esprit, de sorte qu’elle a tiré la bonne conclusion à partir des mêmes informations que les autres.

Quand est venu le moment de choisir son camp, elle a choisi de se ranger du côté du peuple de Dieu. 

Elle est même allée jusqu’à prendre des dispositions pour sa propre famille.

Josué 2:12-13: “Et maintenant, je vous prie, jurez-moi par l’Éternel que vous aurez pour la maison de mon père la même bonté que j’ai eue pour vous. Donnez-moi l’assurance que vous laisserez vivre mon père, ma mère, mes frères, mes soeurs, et tous ceux qui leur appartiennent, et que vous nous sauverez de la mort.”

Voici un autre signe de véritable conversion.

Elle se soucie désormais de la sécurité de sa famille élargie.

Elle ne veut pas être sauvée seule. 

Elle veut s’assurer que sa famille soit sauvée avec elle.

Elle a connu une délivrance remarquable.

Les espions ont accepté d’épargner sa famille lors de l’attaque prochaine contre Jéricho si elle attachait un cordon écarlate à sa fenêtre.

Pourquoi un cordon écarlate?

Dans le chaos de la bataille à venir, un cordon écarlate serait facilement visible par l’armée attaquante.

Mais il y a ici un symbolisme plus profond.

Le cordon écarlate nous rappelle le sang de la Pâque. 

La couleur n’était pas une coïncidence.

C’est un cordon écarlate qui lui garantissait d’échapper à une mort certaine.

Notons que dès que les espions sont partis, Rahab a attaché le cordon écarlate à la fenêtre afin que tout le monde puisse le voir.

Elle n’avait aucune idée du moment où l’attaque aurait lieu. 

Peut-être dans quelques jours, peut-être dans plusieurs semaines. 

Peu importait.

Elle croyait à la promesse et agit en conséquence. 

Voici la clé.

Rahab a entendu la promesse et a agi en conséquence.

Que se serait-il passé si Rahab l’avait oubliée et n’avait jamais pris le temps d’attacher ce cordon écarlate à sa fenêtre?

Elle serait morte comme tous les autres.

Il ne suffit pas d’entendre la vérité.

Entendre la vérité doit vous pousser à agir tôt ou tard.

Rahab la prostituée, cette femme pécheresse qui vendait son corps pour de l’argent, est entrée au Panthéon de la foi pour une seule raison.

Lorsqu’une crise a éclaté, elle a cru à la promesse et a agi en conséquence. 

Et ce simple cordon écarlate lui a sauvé la vie.

Que chaque personne qui lit ces mots les prenne solennellement à cœur. 

Vous êtes peut-être une personne religieuse.

Vous êtes peut-être très moral aux yeux des autres. 

Vous n’êtes probablement pas une prostituée.

Vous seriez probablement gêné d’être classé comme un prostitué. 

Et pourtant, vous ne finirez peut-être pas aussi bien loti que Rahab.

Vous entendez peut-être l’Évangile maintes et maintes fois, mais vous ne faites rien pour y répondre.

Vous croyez peut-être que le sang du Christ peut pardonner vos péchés, vous êtes peut-être même membre d’une église quelque part, mais tant que vous ne viendrez pas personnellement à Christ par la foi, vous ne pourrez pas être sauvé.

Rahab a entendu la parole et y a répondu personnellement en attachant le cordon écarlate à sa fenêtre.

Nous devons faire de même.

Ce n’est pas le fait d’entendre qui nous sauve, mais le fait d’entendre et de croire au point de tendre la main et de faire confiance au Christ comme Sauveur.

Les jours passèrent.

Puis une semaine, voire deux semaines. 

À Jéricho, la vie suivait son cours normalement.

Pendant ce temps, deux choses se passaient dont peu de gens avaient connaissance.

Rahab transmet le message à ses proches. 

“Lorsque l’attaque commencera, venez chez moi. Ne tardez pas. Ne participez pas au combat. Ne fuyez pas pour vous cacher. Venez chez moi et vous serez en sécurité.”

Rahab est devenue une évangéliste pour sa propre famille.

Josué a fait traverser le Jourdain aux enfants d’Israël et les a conduits vers Jéricho.

Ça a poussé les gars de Jéricho à fermer les portes de la ville, sûrs qu’ils pourraient résister à n’importe quelle attaque ou siège.

Nous savons tous ce qui s’est passé ensuite.

Les archéologues nous disent que la ville avait déjà 1000 ans lorsque Josué se prépara à l’attaquer.

Elle revêtait une importance stratégique considérable, car Jéricho était située sur une colline qui gardait la partie centrale de la Palestine.

Au fil des siècles, Jéricho avait été détruite et reconstruite à plusieurs reprises. 

Elle était si forte que ses habitants se sentaient en parfaite sécurité.

À moins d’un miracle, les Juifs n’avaient aucun moyen de prendre la ville.

Nous savons comment Dieu a ordonné à Josué et au peuple de marcher autour de la ville pendant six jours consécutifs.

Le septième jour, ils marchèrent sept fois autour de la ville.

Dieu avait promis que le septième jour, à la septième fois qu’ils auraient fait le tour de la ville, lorsque les prêtres auraient sonné de leurs trompettes et que le peuple aurait poussé des cris, les murs s’écrouleraient.

C’est exactement ce qui s’est passé. 

Nous connaissons tous cette partie de l’histoire.

Tout et tout le monde fut détruit, sauf Rahab.

Quand les soldats virent le cordon écarlate à sa fenêtre, ils l’épargnèrent, ainsi que tous ceux qui étaient avec elle.

Ils ont tenu la promesse faite par les espions.

Ainsi, Rahab la prostituée fut épargnée et sa foi lui permit d’atteindre et de garantir le salut de sa propre famille également.

C’est là une véritable conversion.

Son histoire nous livre un message intemporel.

Depuis 2000 ans, les exégètes chrétiens ont identifié deux thèmes majeurs dans l’histoire de Rahab. Le salut pour les pires pécheurs.

Cette histoire nous enseigne que personne n’est hors de portée de la grâce de Dieu.

Même au milieu du jugement, Dieu tend la main et sauve une prostituée qui se tourne vers lui avec foi.

Mais pensons à tous les hommes avec lesquels elle a couché. 

Pensons à tous ces péchés.

Pensons à sa réputation entachée. 

Pensons à son passé.

Et Dieu dit: “Je sais tout de son passé, et cela n’a pas d’importance parce qu’elle a cru en moi.”

Ce n’est pas que le péché sexuel n’ait pas d’importance. 

Il a une grande importance.

Après tout, elle s’appelle toujours Rahab la prostituée.

Mais elle est désormais libre, pardonnée et en route vers le paradis. 

Alors, quel est votre péché?

Vous lisez peut-être cette leçon et vous vous sentez actuellement indigne d’aller au paradis. 

Si c’est le cas, j’ai une merveilleuse nouvelle pour vous.

Seules les personnes indignes vont au paradis.

Ceux qui se croient “dignes” finissent en enfer.

Donc, si vous avez couché à droite et à gauche, si vous avez fait des bêtises, si vous avez fait des erreurs stupides les unes après les autres, il y a une bonne nouvelle pour vous.

Votre péché fait de vous un excellent candidat au salut. 

N’oubliez pas que si Dieu peut sauver Rahab, il peut sauver n’importe qui. Et cela vous inclut.

Le salut par le sang de Jésus.

Si Rahab représente un pécheur sans défense, alors le cordon écarlate représente le sang de Jésus versé pour vous.

C’est donc un message d’espoir immense pour nous tous.

Et plus vous vous sentez mal dans votre peau, plus vous pouvez trouver d’espoir en Rahab. 

Il n’y a pas de gouffre si profond que l’amour de Dieu ne soit encore plus profond.

Il n’y a pas de péché si terrible que Jésus ne puisse le pardonner. 

Il n’y a pas de tache sur votre âme que Jésus ne puisse laver. 

Mais que faire si vous ne savez pas grand-chose?

Prenez courage.

Rahab savait très peu de choses et pourtant elle a été sauvée.

Je me suis souvent demandé ce qu’il fallait savoir pour être sauvé.

Nous pourrions en débattre pendant des heures, mais puisque la foi est un don de Dieu, nous savons que ce n’est pas l’intensité de votre foi qui compte, mais plutôt l’objet de votre foi.

Ce n’est pas la quantité de foi qui importe, mais l’objet de cette foi.

Rahab en savait suffisamment pour comprendre que le Dieu des Israélites était le seul vrai Dieu. 

Sa foi l’a amenée à accueillir les espions, puis à les renvoyer chez eux.

Et sa foi l’a poussée à accrocher le cordon écarlate à sa fenêtre. 

En termes théologiques, elle en était au stade de la maternelle spirituelle.

Mais cela n’avait pas d’importance. 

Elle est entrée dans la Bible!

“Par la foi, Rahab!”

Dieu se réjouit de sauver les pécheurs notoires.

Que chaque pécheur prenne donc courage et se précipite vers Jésus. 

Qu’est-il arrivé à Rahab après la chute de Jéricho?

Voici ce que nous savons.

Elle a épousé un Juif nommé Salmon et ensemble, ils ont eu un fils nommé Boaz, dont le nom apparaît dans le livre de Ruth.

Boaz et Ruth ont donné naissance à Obed, le père de Jessé, le père de David, qui est devenu roi d’Israël.

Des centaines d’années plus tard, son nom apparaît sur la première page du Nouveau Testament. 

Lorsque Matthieu donne la généalogie de Jésus, il inclut cette section:

Matthieu 1:1-6: “Généalogie de Jésus Christ, fils de David, fils d’Abraham. Abraham engendra Isaac; Isaac engendra Jacob; Jacob engendra Juda et ses frères; Juda engendra de Thamar Pharès et Zara; Pharès engendra Esrom; Esrom engendra Aram; Aram engendra Aminadab; Aminadab engendra Naasson; Naasson engendra Salmon; Salmon engendra Boaz de Rahab; Boaz engendra Obed de Ruth; Obed engendra Isaï; Isaï engendra David. Le roi David engendra Salomon de la femme d’Urie.”

Rahab la prostituée figure dans la liste. 

Elle fait partie de l’arbre généalogique de Jésus.

Si vous connaissez Jésus, vous la rencontrerez un jour au ciel. 

Et là-bas, elle ne sera enfin plus Rahab la prostituée. 

Elle sera pour toujours connue comme Rahab, l’enfant de Dieu.

Ne laissez pas votre passé vous éloigner. 

Venez à Jésus!

Vos péchés seront pardonnés, vous serez sauvé et votre vie ne sera plus jamais la même. 

Ne voulez-vous pas venir?

Ne voulez-vous pas venir à Jésus?

Amen.