Apportez de la « poussière de fée » dans votre Noel

Auteur: David Porter

Les enfants voient Noël comme des éclats de la poussière magique de fées tombant sur un pays de merveilles vêtu de blanc, de rouge et de vert.

C’était toujours ma saison préférée !

Vous voyez, la vie peut être aussi difficile pour les petits enfants. J’ai eu la joie de grandir à la campagne, mais j’ai aussi expérimenté la douleur d’une maman merveilleuse qui était toutefois confrontée à d’horribles moments de dépression, ponctuée de vagues de colère.

Dans ces moments, nous n’avions pas d’autres choix, mon frère, ma sœur et moi-même que de vivre le positif comme le négatif de ces situations.

La saison de Noël nous emmenait dans le pays des rêves où le monde existait comme nous le voulions, comme nous nous l’imaginions.  Car pour un garçonnet de sept ans le Père Noël est aussi réel que le président de la République.

Ses assistants transpirent beaucoup en cette période. Ils travaillent pour vous construire le jouet que vous avez toujours voulu posséder (les assistants du Père Noël, pas le président).  Et le sympathique barbu au costume rouge et au ventre énorme, semble amener pour quelques semaines un peu d’espoir dans un monde qui en est dépourvu. Il amène aussi du même coup beaucoup d’euros dans les caisses des supermarchés.

Durant cette heureuse période, mes oncles, mes tantes, et mes cousins préférés rendaient visite à mes grands-parents qui vivaient tout près de nous. Chaque plat qu’un garçon du Sud des USA pouvait espérer pour cette occasion, décorait et ornait notre table de Noël.  Nous, les enfants, nous jouions jusqu’à ce que nous ne puissions plus jouer.

Le point culminant de ce jour-là, était le matin de Noël. Il semblait que la plupart de la poussière magique des fées s’était concentrée en un seul et unique lieu, et lorsqu’enfin vous êtes réveillés (très tôt sans l’aide de vos parents), la première pensée était :  » qu’ai-je reçu ?  »

Les cadeaux étaient beaux, même si pour l’occasion mes parents devaient contracter des dettes pour nous les offrir.

Plus je vieillissais, plus Noël perdait son éclat.  » C’est pour les enfants  » pensai-je, mais je l’aimais quand même parce justement je voyais la famille. (Et puis un cadeau de temps à autre n’a jamais fait de mal à personne !)

Quand j’eus à mon tour mes propres enfants la joie de Noël est revenue parce à nouveau je pouvais partager leurs rêves ! Qu’il est agréable de donner un cadeau à un enfant ! Et je suppose qu’il faut que vous ayez l’esprit d’un enfant pour voir la poussière magique de fée.

J’ai lu une fois l’histoire d’un homme qui a dû attendre plus de 33 ans avant de pouvoir donner son cadeau le jour de Noël.  Jésus a parlé de son cadeau dans l’évangile de Jean :  » Je leur donne la vie éternelle !  » (Jean 10 :28 )

Quel beau cadeau, cela a dû lui coûter une fortune !

En fait plus que cela, car ce cadeau lui a coûté la vie, sa propre vie !

Quand je lis dans le nouveau testament l’histoire de sa mort, j’ai souvent le désir de l’avertir et de lui crier :  » Seigneur, arrête ! Ne le fais pas !  » Parce que je l’aime et que je sais dans quelle direction Il se dirige, tout ce qui est en moi, voudrait l’empêcher d’aller dans cet endroit de mort.

Quand il prie dans le jardin, et qu’il entend le bruit des pas de la foule qui se tient à une courte distance, au-dedans de moi je crie,  » Cours, Seigneur, cours ! Tu as encore le temps pour te cacher  » !

Quand je lis que les prêtres l’accusent à tort à ce moment je pense :  » Seigneur Jésus, Tu es Dieu. Tu n’es pas obligé de supporter tout cela ! Confonds-les  » !

Quand Ils le giflent, crachent sur lui, se moquent de lui, arrachent sa barbe, et déchirent son dos avec un fouet, mon cœur pleure et dit :  » Seigneur, non. Ne te laisse pas faire ! Ne les laisse pas te faire cela  » !

Son corps semblable au nôtre s’effondre sous le poids de la croix.

Les lèvres divines goûtent à son propre sang, qui est mélangé à la poussière d’une rue insalubre. Des poumons crient leur agonie quand le bourreau martèle et enfonce les gros clous dans ses mains et dans ses pieds.

Des cœurs cruels et persifleurs chantent leur moquerie :  » Si tu es le Fils de Dieu, descends de la croix, et nous croirons en toi. Il a sauvé les autres ? Il ne peut même pas se sauver lui-même  » !

Dix mille anges attendaient son ordre pour intervenir.  Peut-être même que la main de Gabriel a inconsciemment touché la garde de son épée.  » Seigneur, fais-leur payer leur impertinence.  » Je pense à son agonie pour ma propre âme, et je la ressens en même temps.

Lui qui avait le pouvoir de donner un ordre, un seul et qui aurait pu ainsi lui sauver la vie, ne l’a jamais fait, mais seulement ses paroles :  » Père pardonne-leur, parce qu’ils ne savent ce qu’ils fonts  » !

Et puis Il est mort, seul.  Il n’y avait pas à ce moment beaucoup de poussiere magique de fée.

Déballons ce merveilleux cadeau dans lequel il a tout mis. Il n’y avait pas d’autre façon pour nous d’être ainsi sauvé de nos péchés.

La  » poussière magique des fées  » est venue trois jours plus tard. Son Père l’a ressuscité des morts et Il est maintenant à la droite de Dieu, s’assurant dorénavant que tous ceux qui viendraient à Lui dans la repentance et dans la foi en Son Nom, obtiendraient le don de la Vie Eternelle.

Le but de ce premier Noël est sa venue. Voulez-vous répondre en recevant CE CADEAU, SON DON avec joie et foi ? Si vous l’avez déjà fait, pourquoi ne pas vous arrêter une minute afin de le remerciez pour ce cadeau merveilleux ?

Qu’est-ce que tous les cadeaux du Père Noël en comparaison de ce merveilleux cadeau ? Qu’y a-t-il de comparable ?

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