Avons-nous besoin de guérison?
Recevoir une guérison de Dieu ne se trouve pas dans une formule scientifique, une méthodologie infaillible ou une incantation magique. Nous devons chercher Dieu et le donneur de vie lui-même. Cependant, Jésus nous a donné quelques paroles stimulantes dans Marc 11:24: “C’est pourquoi je vous dis: Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.” Lorsque Jésus parle, nous écoutons. Lorsque Jésus nous donne une promesse, nous pouvons savoir qu’elle s’accomplira. Sommes-nous confrontés à une question, une maladie ou une crise aujourd’hui? Nous devons demander la guérison à Dieu dans la prière. Lorsque nous demandons, nous devons le faire d’une manière spécifique. Une fois, il a demandé à un aveugle assis au bord de la route : « Que veux-tu que je fasse pour toi aujourd’hui? ». C’est une question intéressante, car Jésus n’avait-il pas vu que l’homme était né aveugle? Jésus voulait que l’homme précise son besoin en disant: « Voici ce dont j’ai vraiment besoin, Jésus ». C’est plus que « Seigneur, j’ai besoin de la guérison de mon corps, mais Seigneur, j’ai besoin de la guérison de ce type spécifique de maladie ». Nous devons croire. Nous devons croire que nous l’avons reçue, en d’autres termes, nous devons remercier Dieu à l’avance d’avoir répondu à notre besoin. Paul écrit dans Philippiens 4:6: “Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces.” C’est un acte de foi que de dire: « Merci Père, ma guérison est déjà là. Je remercie Dieu que l’emploi pour lequel je prie soit déjà là. Merci que mon mariage soit déjà rétabli ». Nous croyons en Dieu. Dieu est le guérisseur. Exode 15:26: “Je suis l’Éternel, qui te guérit.” Il n’y a pas de degré de difficulté avec Dieu lorsqu’il s’agit de miracles. Guérir quelqu’un du cancer pour Dieu n’est pas plus difficile que de nous aider à retrouver nos clés de voiture quand nous les avons perdues. Il ne s’agit pas d’un appel à ignorer la réalité ou à traiter Dieu comme un distributeur automatique cosmique. C’est une invitation à aligner nos cœurs sur le cœur de Dieu, à faire confiance à sa bonté et à sa capacité à faire l’impossible. Lorsque nous prions avec ce genre de foi qui déplace des montagnes, nous commençons à voir le paysage de notre vie changer. Des portes qui semblaient scellées commencent à s’ouvrir. Des rêves dormants prennent vie. Les peurs qui nous tenaient captifs perdent leur emprise à la lumière des promesses de Dieu. Nous recevons la guérison. Nous ne mettons pas notre foi dans notre foi, mais nous mettons notre foi en Dieu. Certains diront: « J’ai si peu de foi ». Nous devons utiliser la foi que nous avons. Ce n’est pas la taille de notre foi qui compte, c’est la taille de notre Dieu. Une petite foi en un grand Dieu donne des résultats extraordinaires. Enfin, Jésus dit : “Et vous le verrez s’accomplir.” Ce sera, et non pas ce sera peut-être. Ce sera. C’est une promesse de notre Dieu puissant.