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Le ministère de l’Église Chrétienne

Vous avez peut-être pensé que ce plan rédempteur prenait fin avec le mort de Christ sur la croix. Mais Jésus lui-même a transmis son ministère de salut du monde à son Église. Vous apprendrez dans ce cours que la mission universelle donnée par Christ à l’Église est aussi en fait son autorité pour agir au nom de Dieu. L’Église n’a pas non plus été abandonnée à elle-même pour accomplir cette tâche—car Christ a envoyé son Saint-Esprit pour nous aider. Il œuvre en nous, et au travers de nous, pour accomplir le plan rédempteur de Dieu.

Leçon 2 : Un plan universel

En 1588, le roi d’Espagne Philippe II préparait une invasion de l’Angleterre. Il avait préparé ses plans avec beaucoup de soin. Il envoya en avant sa prodigieuse Armada Espagnole, qui consistait de 130 navires et de 8 000 marins, et il était sûr de sa victoire.

Mais les choses ne se passèrent pas comme prévu. L’infanterie qui était supposée soutenir sur la terre ferme la marine, n’arriva pas à temps. Les Anglais combattirent contre la flotte Espagnole. Un vent violent se mit à souffler, et empêcha l’Armada Espagnole de se retirer, au point d’envoyer ses navires entre les mains des Anglais. Les plans du roi échouèrent et la bataille fut perdue.

Dans cette leçon nous continuerons notre discussion, à savoir : comment Dieu a-t-Il un plan pour le salut du monde ? Le plan rédempteur nous montre le Père, le Fils et le Saint-Esprit ensemble en guerre contre le péché. Il est très enthousiasmant de voir que le plan de Dieu se déroule selon Ses prévisions, ceci afin d’amener l’homme dans Sa communion. Le plan de Dieu, Lui, n’a pas échoué.

UN PLAN REDEMPTEUR
Objectif 1. Expliquer la différence entre les mots rédemption et salut.
La signification du mot rédemption

Les mots salut et rédemption sont très semblables. Il n’est pas facile de saisir la différence entre ces deux mots. Ce sont tous deux des mots très importants pour le croyant, mais il existe une petite différence, quant à leurs significations.

Le mot salut est le plus populaire des deux, et a un sens plus général. Il a en lui l’idée d’être sauvé d’un danger possible. Pour les chrétiens cela signifie qu’à cause du péché, l’homme est en danger de mort et de châtiment éternel (Romains 3.23).

Le mot rédemption lui, signifie aussi « salut », mais il signifie aussi quelque chose de plus spécifique. Il parle de la façon et des moyens par lesquels ce salut est obtenu. Il se réfère aussi au prix et au paiement de la rançon pour ce salut. L’idée est celle d’un rachat, de ce qui était vôtre légitimement, mais qui a été perdu pour une raison ou pour une autre (voir Lévitique 25.25-27, 47-54). Il peut signifier la délivrance, comme lorsque les enfants d’Israël furent délivrés de l’Egypte (Exode 6.6; 15.13) et de Babylone (Jérémie 31.11 ; 50.33-34).

L’homme tomba dans le péché en désobéissant à la loi de Dieu. L’homme ne reconnut pas le Dieu qui avait établi ces lois. Le résultat en fut que l’homme perdit sa communion avec Dieu. La volonté de Dieu, et Son but éternel, a donc été de ramener l’homme en communion avec Lui-même. Pour cela Il choisit de racheter l’homme par le moyen du sacrifice de Son propre Fils.

Le pécheur, étant tenu captif dans la servitude du péché, doit reconnaître le plan rédempteur de Dieu comme étant 1) d’origine divine, et 2) humain dans son but. En d’autres mots, il a besoin de comprendre la source et le but du plan de Dieu. Nous allons examiner ces deux concepts.

D’origine divine
Objectif 2. Identifier des déclarations qui expliquent correctement

l’origine et le but de la rédemption.

La rédemption a sa source en Dieu. La rédemption révèle la nature de Dieu au plus profond de Son être. La rédemption a sa source en Lui à cause de ce qu’Il est. Il est le Dieu éternel agissant en faveur de l’homme. Il est le Père Céleste agissant par pur amour pour Sa création.

Dieu est amour. L’amour fait partie de Sa nature même. L’amour est la force qui se trouve derrière la rédemption. Il ne nous rachète pas parce qu’Il pense que c’est Son devoir de le faire, mais parce qu’Il nous aime. Par conséquent, il n’est pas surprenant qu’Il accepte de payer un si grand prix—Son fils unique—pour notre rançon. Un Père plein de bonté choisit d’agir gracieusement en faveur de l’homme comme l’expression d’un amour qui n’était pas mérité. Il est vraiment le Dieu du salut, Celui qui est notre Père, qui, dès l’éternité, S’appelle notre rédempteur (Esaïe 63.16).

La rédemption vient de Dieu. Le salut vient du Dieu de l’action, le Créateur. La première ligne du premier livre de la Bible nous montre un Dieu en action : « Au commencement Dieu créa le ciel et la terre » (Genèse 1.1). La rédemption a son commencement et sa fin en Dieu. La rédemption c’est Dieu en action. Ce n’est pas seulement un Dieu bon et plein d’amour, Il est aussi un Dieu vivant et plein d’attentions. Dieu voulait la rédemption de l’homme, et Il y a pourvu. Il a mis Son plan rédempteur en mouvement.

Comment l’a-t-Il réalisé ? Il s’en est pris à l’ennemi de l’homme et Il a l’intention d’arracher l’homme à la servitude du péché.

Humain dans son but

La rédemption est pour l’homme. L’homme a besoin d’être secouru. Il s’est donné lui-même au péché et a perdu sa communion avec son Créateur. Il est en état de rébellion, refusant d’obéir à Dieu. Sa condition est la raison même de la nécessité du plan rédempteur de Dieu. C’est une condition de séparation. Cela ne signifie pas uniquement que le pécheur ne peut plus entrer dans la présence de Dieu. Ce qui est déjà une pensée effrayante ! Cela signifie aussi qu’il existe un châtiment certain et positif pour le pécheur qui refuse la grâce de Dieu en action. Ce châtiment c’est la damnation éternelle car « le salaire du péché, c’est la mort » (Romains 6.23).

La rédemption est effectuée par le Fils de l’homme. Au cur de la rédemption se trouve l’incarnation. Par incarnation nous voulons dire que le Fils de Dieu devint chair (homme) et vécut parmi les hommes. Il fut vraiment le substitut de l’homme pour satisfaire la colère de Dieu et Son jugement de mort sur le pécheur. Christ Se fit homme pour sauver l’homme. « Celui qui n’a pas connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu » (2 Corinthiens 5.21).

Il a tout payé !

La valeur de la substitution de Christ à la place de l’homme réside dans le fait qu’Il était aussi Dieu. Jésus est Dieu, et pas uniquement à la ressemblance ou sous la forme de Dieu. Jésus est Lui-même Dieu, la deuxième personne de la Trinité. Dieu Se fit chair, c’est-à-dire, deux natures en une personne : l’une divine et l’autre humaine. Il n’est pas né à la suite de l’union d’un homme et d’une femme, mais comme le résultat d’une union entre la Divinité et l’humanité. L’instrument humain pour Sa naissance fut Sa mère Marie, qui conçut par un acte créateur du Saint-Esprit (Luc 1.34-35).

Par conséquent, la rédemption montre que le Père, le Fils et le Saint-Esprit sont à l’uvre en train d’agir pour le jugement du péché et pour le salut de l’humanité.

UN ACTE REDEMPTEUR
Objectif 3. Expliquer les concepts établissant que le rôle de Christ dans la rédemption fut préparé, personnel et achevé.

Christ est au centre du plan rédempteur de Dieu. Le salut de l’homme ne se fait pas au travers d’une bonne philosophie ou manière de vivre. Il se fait au travers de la personne de Jésus-Christ.

Le but le plus élevé de Dieu pour l’homme, et l’activité la plus élevée de l’ homme pour Dieu, c’ est la communion (Apocalypse 4.10-11). La perte de la communion avec Dieu fut la plus grande perte pour l’homme quand il pécha. Mais Dieu a pourvu afin que cette communion avec l’homme puisse être restaurée. C’est par le moyen de Son Fils Jésus-Christ.

Le rôle de Christ fut de restaurer la communion de Dieu avec l’homme en mourant sur la croix. Le sacrifice de Christ signifia que Dieu pouvait Se tourner vers l’homme, parce que Ses exigences étaient satisfaites—la barrière du péché avait disparu. La mort de Christ signifia aussi que l’homme pouvait se tourner vers Dieu, parce que sa rançon était payée.

Le sacrifice de Christ sur la croix fut la raison principale de Sa naissance, de Sa vie, et de Son ministère (Marc 10.45). La mort de Christ fut cette partie du plan rédempteur de Dieu, rendant possible à l’homme de comprendre l’amour de Dieu. Pour cette raison, l’acte rédempteur de Christ sur la croix fut 1) soigneusement préparé, 2) mis en application de façon personnelle, et 3) achevé à la résurrection.

Un acte préparé

Dieu avait pressenti à l’avance la misérable chute de la race humaine. Il avait un plan pour notre rédemption et pour la restauration de notre communion avec Lui. Le Fils de Dieu devint « Agneau immolé dès la fondation du monde » (Apocalypse 13.8). Son rôle dans la rédemption fut :

  1. Préparé par Dieu (Ephésiens 1.4-6, 11).
  2. Promis par Dieu (Genèse 3.15).
  3. Prophétisé par les prophètes (Esaïe 53).
  4. Partiellement accompli dans l’Ancien Testament (Michée

    4.1-4).

  5. Prêché par les apôtres (Actes 2.23 ; 4.28).

En lisant les Ecritures vous verrez que Jésus fit toujours partie du plan de Dieu pour la rédemption de l’humanité perdue.

Un acte personnel

Le salut est centré sur une personne, Jésus-Christ. Christ est le salut. Expérimenter la rédemption, c’est expérimenter Christ. Il s’est donné Lui-même pour nous racheter. Le sacrifice rédempteur de Christ fut Sa propre vie.

Le salut n’est pas une question de croyances et de pratiques, ou encore une façon de vivre. C’est Christ qui est donné par Dieu, pour chacun de nous (Jean 1.12 ; 1 Jean 5.12). Il fut envoyé par le Père, mais d’un autre côté Il vint volontairement (de Son propre choix) dans le monde. Il a clairement dit :

Le Père m’aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi- même ; j’ai le pouvoir de la donner et j’ai le pouvoir de la reprendre ; tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père (Jean 10.17-18).

Pour accomplir le plan rédempteur de Dieu, le Fils de Dieu devait prendre une chair semblable à la nôtre. « La Parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité » (Jean 1.14). Christ, la Parole, a rendu les pensées et la volonté de Dieu réelles en les faisant devenir chair et sang pour l’humanité. Le but de Dieu en action n’était nul autre que Christ en personne. La Parole n’est pas simplement un message qui est prêché, elle est Christ même !

L’acte rédempteur fut personnel parce que Jésus accomplit le sacrifice personnellement. Il fut personnel aussi parce qu’il fut accompli pour d’autres personnes. Encore aujourd’hui, le sacrifice de Christ peut racheter toute personne des choses suivantes :

  1. Des actes de désobéissance aux lois de Dieu.
  2. Des actes de rébellion qui enlèvent Dieu du centre de la

    vie.

  3. D’ une image de Dieu endommagée.
  4. D’ une perte d’ innocence et de sainteté originales.

Un acte achevé

A ce stade il est important de faire une remarque en particulier sur la résurrection de Christ. Ensemble avec la mort de Christ, la résurrection est l’une des vérités les plus importantes de la foi chrétienne. Jésus a rarement fait mention de Sa mort sans aussi parler de Sa résurrection. Ce fut le thème de la prédication des apôtres. Exception faite pour la mort de Christ, elle fait l’objet de plus d’attention dans le Nouveau Testament qu’aucune autre doctrine. Tous deux sont des actes concernant la rédemption de l’homme. « Car Christ est mort et il est revenu à la vie pour être le Seigneur des morts et des vivants » (Romains 14.9).

La résurrection de Christ est importante pour les raisons suivantes :

  1. Elle établit que Christ est Dieu.
  2. Elle révèle que Christ a autorité sur la mort.
  3. Elle prouve la réalité des vérités de Christ.
  4. Elle confirme les prophéties bibliques.
  5. Elle met en pièces la sécurité des fausses religions, qui ne

    prétendent pas que leurs fondateurs ont été ressuscités d’entre les morts.

La résurrection de Christ est l’apogée et la conclusion des évangiles de Matthieu, de Marc, de Luc et de Jean. Elle constitue l’accomplissement de la mission de Christ. «Il nous a fait connaître le mystère de sa volonté, le dessein bienveillant qu’il s’était proposé en lui (Christ) » (Ephésiens 1.9).

N’êtes-vous pas heureux que le plan de rédemption a été mené à bon terme ? Parce que l’uvre est accomplie, nous avons en nous l’espérance éternelle d’une communion sans fin avec Dieu !

UNE MISSION REDEMPTRICE
Objectif 4. Décrire l’activité du Saint-Esprit alors qu’il travaille au travers de l’Eglise pour mener à bien le plan rédempteur de Dieu.

Comme un vent puissant

Le Saint-Esprit, la troisième personne de la Trinité, est aussi actif dans le plan rédempteur de Dieu. Il a la même volonté et le même but que le Père et le Fils, quant à la rédemption du monde. Cela a toujours été ainsi depuis le commencement des temps.

Dans l’Ancien Testament l’accent est mis sur l’activité du Saint-Esprit. Nous connaissons Sa nature par Ses actions. Il est l’agent de la création (Genèse 1.2 ; 2.7 ; Job 26.13). Il soutient aussi ce qui a été créé (Psaume 104.30). L’Esprit est aussi décrit comme étant très actif dans les vies morales, intellectuelles et spirituelles des hommes (Exode 28.3 ; Psaume 51.3 ; Joël 3.1).

Dans le Nouveau Testament le Saint-Esprit est l’agent de la nouvelle création (Jean 3.2). Jésus-Christ est conçu par l’Esprit (Luc 1.34-35 ; Matthieu 1.18). Le Saint-Esprit est présent et actif lors du baptême de Jésus (Matthieu 3.13-17), dans Son ministère (Matthieu 12.28 ; Luc 4.18-21), et Il est aussi « L’Esprit de Dieu, qui a ressuscité Jésus d’entre les morts » (Romains 8.11).

Les dernières paroles du Christ ressuscité furent l’ordre et la commission : « Allez dans le monde entier et prêchez la bonne nouvelle » (Marc 16.15) et « faire . . . des disciples » (Matthieu 28.19-20). Bien qu’Il Se soit adressé à Ses disciples, cette commission est donnée par le Saint-Esprit. C’est pourquoi, jusqu’à ce qu’ils eussent attendu et reçu le don et la puissance du Saint-Esprit, le jour de la Pentecôte, ils ne furent pas capables d’accomplir cette Grande mission.

Le livre des Actes dit qu’il vint du ciel comme le bruit d’un vent impétueux, qui remplit toute la maison où ils étaient assemblés (Actes 2.2). Le Saint-Esprit vint sous la forme d’un vent impétueux pour indiquer â l’Eglise qu’Il lui apportait vie et énergie—la force et la puissance pour obéir à la commission de Dieu.

L’ESPRIT DONNE LA PUISSANCE

La venue de l’Esprit le jour de la Pentecôte « scella » la possession de Dieu. Le plan de rédemption avait été achevé par la résurrection de Christ. Le Saint-Esprit vint pour déclarer Son droit de propriété aux rachetés en vue du service (Ephésiens 1.13). Il vint pour confirmer les affirmations et les promesses de Christ (Jean 3.33).

Le Saint-Esprit est important dans le plan rédempteur de Dieu. Nous ne devons pas attrister le Saint-Esprit de Dieu, par lequel nous avons été scellés pour le jour de la rédemption Ephésiens 4.30).

Les apôtres ont reconnu la venue du Saint-Esprit comme la preuve de l’authenticité du plan rédempteur de Dieu. Voici quelques textes de l’Ecriture qui résument certaines vérités qui prirent vie et réalité dans l’Eglise primitive lors de la venue de l’Esprit :

  1. La volonté absolue de Dieu était à l’uvre (Actes 2.23).
  2. L’enchaînement des événements était l’accomplissement

    des prophéties (Actes 2.16, 25).

  3. La rédemption était pour toute l’humanité (Actes 2.39).
  4. La méthode de Dieu c’est la repentance et la foi (Actes

    2.38).

L’Eglise primitive vivait et œuvrait dans la présence du Saint-Esprit (1 Jean 3.24 ; 4.13). Le Saint-Esprit était la force, la dynamique puissante dans son ministère. C’est parce qu’elle était remplie du Saint-Esprit qu’elle put être efficace et qu’elle put offrir un service agréable au Seigneur (Actes 1.8).

Comme une année puissante en mouvement

Le jour de la Pentecôte l’Eglise vint à l’existence. C’est par le Saint-Esprit que cette naissance eut lieu—au travers de l’Eglise, le Saint-Esprit doit accomplir le but divin de Dieu. Sa venue voulait dire que « le jour du salut » était arrivé. Ce qui signifie, que tous les aspects de l’acte rédempteur de Dieu avaient été accomplis (Ephésiens 4.30).

Avant la Pentecôte, le Saint-Esprit avait un ministère actif mais général. Il était partout, autant que cela est possible pour Dieu. Il était là pour aider l’humanité. Mais après la Pentecôte, le Saint-Esprit vint avec une mission bien plus spécifique. L’un de Ses buts dans le monde, c’est de convaincre le pécheur qu’il a besoin de l’évangile. Le ministère du Saint-Esprit est en relation directe avec le salut de l’homme, par le moyen de la prédication ou le partage de la Parole de Dieu. Tout d’abord le Saint-Esprit convainc le pécheur de son péché (Jean 16.7-11). Puis ensuite, Il produit la nouvelle naissance en ceux qui étaient morts dans leurs péchés (Jean 3.5 ; Hébreux 2.10).

L’Eglise représente tous ceux qui ont été rachetés par le plan de Dieu. Elle représente le temple comme l’habitation (lieu de résidence) de Dieu par le Saint-Esprit (Ephésiens 2.19-22). Dieu a accompli Son but éternel qui était de racheter l’homme.

Mais le Saint-Esprit a maintenant la responsabilité de s’assurer qu’au travers de l’Eglise, les buts de Dieu atteignent le monde entier. Si ceux qui ont été rachetés n’annoncent pas le message au monde, alors le plan de rédemption de Dieu est incomplet. Le Saint-Esprit est en train de rassembler une armée qui combattra contre Satan. Etes-vous devenu membre de cette armée ?

Dans cette leçon, nous avons vu que la Trinité—le Père, le Fils, et le Saint-Esprit—sont activement impliqués dans le plan rédempteur. Le plan est achevé et il y a un espoir pour le monde. Le péché peut être vaincu. Mais ceux d’entre nous qui ont été rachetés doivent faire leur part de travail. Dieu nous demande de faire partie de Son plan rédempteur.

Prochaine leçon