Leçon 10 : La fiabilité du Nouveau Testament

Les leçons précédentes vous ont permis d’apprendre bien des choses concernant les livres du Nouveau Testament. Vous avez d’abord découvert l’aspect politique, religieux et culturel de son contexte, puis vous avez appris à en connaître les auteurs. Vous avez considéré certaines des raisons pour lesquelles ces livres ont été écrits. Vous les avez enfin lus, l’un après l’autre, et vous en avez étudié le message.

Diverses questions subsistent cependant, et nous devons y répondre. Pourquoi, par exemple, le Nouveau Testament compte-t-il uniquement les vingt-sept livres dont nous avons parlé ? Comment ces livres sont-ils parvenus jusqu’à nous ? Sur quelle preuve nous appuyons-nous pour dire qu’ils existent aujourd’hui sous leur forme originelle datant d’environ 1 800 ans ?

Dans cette leçon, nous répondrons à toutes ces questions. Vous découvrirez comment le Nouveau Testament a été formé, et ce qui prouve qu’il nous est parvenu sans la moindre erreur. Les détails ainsi étudiés vous permettront de comprendre que vous pouvez faire confiance à ces textes. Ils vous aideront à voir pourquoi vous pouvez vous fier avec assurance au Nouveau Testament alors que vous cherchez à servir le Seigneur et à vivre pour lui.

Le Saint-Esprit a non seulement inspiré les écrits des livres du Nouveau Testament, mais il a aussi guidé l’église au moment de la compilation du Nouveau Testament lui-même et lorsqu’il a été question de nous le transmettre. En étudiant ces différents épisodes, vous verrez pourquoi nous pouvons nous fier à ces textes et les considérer comme la Parole de Dieu pour nous aujourd’hui.

FORME SOUS LA DIRECTION DE DIEU
Objectif 1. Décrire les quatre étapes de la formation du Nouveau Testament.

La formation du Nouveau Testament est un processus qui s’est déroulé sur plusieurs années, après que les livres eux- mêmes ait été écrits. Ces livres ont d’abord circulé, puis ont été compilés et utilisés par les dirigeants avant d’être officiellement reconnus par le conseil de l’église.

Ecrits par des hommes choisis à cet effet

Peu de temps après l’ascension de Jésus, Dieu a inspiré certains hommes à écrire les livres sur lesquels vous vous êtes penché et auxquels nous donnons le nom de Nouveau Testament. Au début, les apôtres se contentèrent de prêcher en se basant sur leur expérience personnelle avec Christ, et ils montrèrent comment

Christ était l’accomplissement des prophéties de l’ Ancien Testament (voir Actes 2.14-41; 3.17-26; 7.2-53; 8.26-35, par exemple). Paul, Pierre et d’autres encore ont ensuite adressé des lettres aux différentes églises ou à des personnes individuelles dans le but de confirmer par écrit ce qu’ils avaient déjà expliqué par leur prédication et leur enseignement. Plus tard, Matthieu, Marc, Luc et Jean ont rédigé les évangiles afin de donner aux croyants le récit exact de la vie et des enseignements de Jésus ; Luc a aussi rédigé le livre des Actes. Enfin, il a été demandé à l’apôtre Jean d’écrire ce que Dieu lui avait révélé afin de montrer aux croyants ce qui se passerait dans l’avenir (Apocalypse 1.1, 11). L’ensemble des vingt- sept écrits sont nés entre l’an 49 et l’an 95 après Jésus-Christ.

Recueillis par des croyants

Certaines églises se sont mises à échanger les lettres qu’elles avaient reçues (voir Colossiens 4.16). Il est certain que ces lettres sont retournées auprès de ceux auxquels elles étaient destinées à l’origine, car on leur attachait un grand prix. Elles sont été dupliquées et, au bout de peu de temps, les églises de plusieurs villes en avaient une copie.

Peu après la circulation et la duplication de ces écrits individuels, certains ont été compilés. Dans le Nouveau Testament lui-même, Pierre parle des lettres de Paul en donnant l’impression qu’elles avaient déjà été acceptées comme un tout (2 Pierre 3.15- 16). On a retrouvé des manuscrits dans lesquels les lettres de Paul étaient groupées de cette manière-là. Il semble en outre que les quatre évangiles étaient souvent groupés, eux aussi.

Le livre des Actes leur était parfois ajouté. D’autres collections semblables ont été faites au cours des années qui ont suivi la parution des livres, et bientôt tous les livres du Nouveau Testament ont été réunis. Un des manuscrits importants qui nous vient du quatrième siècle contient le Nouveau Testament tout entier.

Reconnus par les dirigeants de l’église

Les livres du Nouveau Testament ont été reconnus par ceux qui les ont reçus comme étant la Parole de Dieu. Comme nous l’avons déjà vu, c’est ainsi que Pierre considérait les écrits de Paul (2 Pierre 3.15-16). Dans 1 Timothée 5.18, Paul applique le terme « Ecriture » à une citation de l’Ancien Testament : « Tu n’emmuselleras pas le bÏuf, quand il foulera (le grain) » (Deutéronome 25.4), et à une remarque de Jésus : « L’ouvrier mérite son salaire » (Luc 10.7). Paul et Jean souhaitaient tous deux que leurs lettres soient lues à l’église, car comme le voulait la tradition, les écrits de l’Ancien Testament étaient eux-mêmes lus à la synagogue (1 Thessaloniciens 5.27 ; Colossiens 4.16 ; Apocalypse 1.3).

Au cours des années qui ont suivi la période de rédaction et de circulation des livres du Nouveau Testament, d’autres dirigeants d’église, issus d’endroits différents, ont commencé à les considérer comme étant la Parole de Dieu. Dans leurs écrits, ces hommes se sont mis à en citer certains passages, leur accordant ainsi tout le respect réservé généralement aux textes de l’Ancien Testament. Le tableau suivant vous indiquera brièvement qui étaient ces dirigeants, où et quand ils vivaient, et les livres du Nouveau Testament qu’ils citent ou auxquels ils font référence dans leurs écrits.

Les dirigeants dont le nom apparaît dans le tableau ne se contentaient pas de citer les livres du Nouveau Testament ou de s’y référer, mais ils s’y appuyaient également lorsqu’ils devaient s’opposer aux faux docteurs. Irénée et Origène, par exemple, ont fait appel aux écrits du Nouveau Testament en se dressant eux- mêmes, par leurs écrits, contre le gnosticisme. (Souvenez-vous qu’à la leçon 9, nous avons dit que 1 Jean avait été rédigé en opposition à une première forme d’enseignement erroné qui ressemblait au gnosticisme ; on adoptait l’idée que l’esprit est bon, mais que la matière est mauvaise.) La manière dont les dirigeants d’église ont utilisé le Nouveau Testament montre combien ils en estimaient les écrits.

Reconnus par le conseil de l’église

Vers la dernière partie du quatrième siècle, les dirigeants d’église ont officiellement reconnu les livres considérés comme inspirés. On parlait des textes ayant ainsi été acceptés comme appartenant au canon des Ecritures, c’est-à-dire à l’ensemble des écrits divinement inspirés et faisant autorité.

Il y avait trois raisons principales à cette reconnaissance officielle: 1) l’apparition d’écrits nouveaux, considérés par certains comme inspirés, 2) l’influence de la liste incomplète ou canon de Marcion, et 3) la persécution, sous Dioclétien.

1. Apparition d’écrits nouveaux. Les vingt-sept livres qui composent notre Nouveau Testament ne sont pas les seuls écrits au sujet de Christ et des apôtres, ayant été composés au cours des 150 premières années de l’existence de l’église. Dans l’introduction de son évangile, Luc déclare: «plusieurs ont entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous » (Luc 1.1). Paul, de son côté, avertissait les Thessaloniciens en leur demandant de ne pas se laisser ébranler par des lettres qui lui seraient attribuées et qui contredisaient ce qu’il leur avait appris au sujet du retour du Seigneur (2 Thessaloniciens 2.2).

Plus tard, on vit apparaître des écrits comme 1 Clément (en l’an 96 après Jésus-Christ), l’épître de Barnabas (en 130),l’enseignement des douze apôtres (aux environs de l’an 120) et Le Berger d’Hermas (aux environs de l’an 140). Ces textes étaient de nature pieuse et certaines églises leur accordait une grande importance. Au cours du second et du troisième siècles, plusieurs autres écrits ont surgi, et tous prétendaient avoir été inspirés. Citons parmi eux les Actes de Pierre, l’Apocalypse de Pierre et l’Evangile de Thomas. Plusieurs étaient pleins de fantaisie et d’imagination.

Face à une telle situation, les dirigeants de l’église ont été obligés de déclarer quels étaient les livres que tous pouvaient accepter comme les produits authentiques du Saint-Esprit.

2. La liste de Marcion (aux environs de l’an 140 après J.- C.). En plus de l’apparition d’autres écrits, on subissait également l’influence toujours croissante de la liste incomplète ou canon de Marcion. Celui-ci était un faux docteur qui n’acceptait que l’évangile de Luc et dix des épîtres de Paul— après avoir retiré de ces dernières tout ce qui ne lui plaisait pas. Cet homme rejetait les autres livres qui avaient pourtant déjà été reconnus comme inspirés par la plupart des frères responsables, et il gagnait de nombreux adeptes prêts à accepter sa liste incomplète. Les dirigeants de l’église devaient par conséquent affirmer l’autorité des livres que Marcion reniait.

3. La persécution, sous Dioclétien. Un autre facteur qui a conduit à la formation du canon a été la loi promulguée par l’empereur romain Dioclétien, en l’an 303 de notre ère. D’après cette loi, tous les livres sacrés devaient être brûlés. Il était par conséquent important que ces textes soient officiellement reconnus par ceux qui étaient à la tête de l’église afin d’être ensuite préservés et protégés.

Un événement significatif lors de la formation du canon du Nouveau Testament est celui du troisième concile de Carthage, en l’an 397 de notre ère. D’autres conciles avaient déjà eu lieu en divers endroits comme à Nicée (325 après Jésus-Christ), à Laodicée (363 après J.-C.) et à Damasine (382 après J.-C.), et plusieurs listes avaient été compilées. C’est cependant lors du troisième concile de Carthage qu’est apparue la première déclaration officielle concernant les livres qui devaient être considérés comme canoniques, c’est-à-dire comme faisant partie du canon. Cette déclaration était la liste des vingt-sept livres contenus dans notre Nouveau Testament, ni plus ni moins.

 

Il est important de comprendre que les chefs de l’église n’avaient rien à voir avec le fait qu’un écrit soit inséré ou non dans le canon. Une lettre ou un livre était inspiré(e) par le Saint- Esprit et faisait autorité en vertu de son contenu, ou il/elle ne l’était pas. La tâche des dirigeants était de reconnaître les textes qui étaient dignes de figurer dans le canon, et de les inclure ensuite à ce dernier. Il est évident que le Saint-Esprit les a guidés, car les livres choisis par ces hommes ont fait face à l’ épreuve du temps et répondent à chacun des besoins de l’ Eglise.

Tatien cite la plus grande partie du Nouveau Testament et il s’y réfère souvent.

Les quatre évangiles étaient liés les uns aux autres.

Pierre parle des épîtres de Paul comme si elles formaient déjà une unité.

Le troisième concile de Carthage publie la liste des livres canoniques.

Luc écrit le récit de la vie de Christ et des débuts de l’église.

Origène se sert du Nouveau Testament pour s’opposer au gnosticisme.

1) Ecriture
2) Collection
3) Affirmation
4) Reconnaissance

PRESERVE ET TRANSMIS FIDELEMENT
Objectif 2 Faire correspondre ce que l’on dit de la fiabilité du Nouveau Testament à des faits précis susceptibles de le confirmer.

Dans la section précédente, nous avons étudié comment le Nouveau Testament avait été formé. Nous considérerons maintenant les preuves sur lesquelles nous nous appuyons pour dire qu’il a été copié avec soin et qu’il nous est parvenu sous sa forme originelle. En les étudiant, nous découvrirons les raisons pour lesquelles nous pouvons être certains que notre Nouveau Testament est le récit fidèle de la vie de Jésus et des enseignements des apôtres.

Existence de plusieurs manuscrits anciens

Il est vrai qu’aucun des premiers manuscrits du Nouveau Testament n’existe aujourd’hui ; la première lettre que Paul a lui-même écrite aux Corinthiens, par exemple, a disparu. On a cependant retrouvé et conservé des centaines de copies, certaines datant même du second siècle de notre ère. L’ensemble de ces manuscrits et de ces écrits peut se diviser en quatre groupes fondamentaux qui sont : les papyrus et parchemins grecs, les traductions et versions diverses, les citations des dirigeants de l’église et les lectionnaires ou leçons utilisés dans les églises.

Papyrus et parchemins grecs

Comme vous le savez, les auteurs du Nouveau Testament se sont exprimés dans la langue grecque. Leurs lettres et leurs livres, ainsi que leurs premières copies, étaient écrits sur une substance appelée papyrus ; plus tard, les copies ont été faites sur des parchemins.

Le papyrus était une substance faite à partir de feuilles de certains roseaux qui poussaient en Egypte. Au début, les manuscrits étaient copiés sur des rouleaux de papyrus, puis les feuilles individuelles ont été coupées et liées ensemble pour former une sorte de livre appelé codex. Les livres de notre époque sont encore assemblés de cette façon. Le papyrus n’était pas cher, mais il était extrêmement fragile. Dans un climat sec comme celui de l’Egypte, les feuilles pouvaient durer plusieurs centaines d’années. Par contre, dans un climat humide, elles pourrissaient facilement. Malgré leur fragilité, environ cinquante-trois manuscrits transcrits sur papyrus ont été conservés jusqu’à ce jour. Le plus ancien ayant été découvert est le papyrus de Rylands 457 (P52). Il date de la première partie du second siècle et contient des portions de l’évangile de Jean. Si cet évangile a été écrit à la fin du premier siècle (aux environs de l’an 95), cela signifie que ce fragment provient d’un manuscrit produit moins de cinquante ans plus tard.

Six des papyrus les plus importants sont décrits brièvement dans le tableau suivant. (Remarques: les manuscrits de papyrus sont désignés par la lettre P suivie d’un chiffre. Il arrive aussi que l’on cite le nom de la personne qui l’a découvert.)

A partir du quatrième siècle, les livres du Nouveau Testament ont été copiés sur parchemin ou sur vélin, substances plus durables (plus chères aussi) à base de peaux d’animaux. On en formait ensuite des recueils. Il existe plus de 200 manuscrits à caractère onciaux (grandes lettres majuscules grecques) sur parchemin ou vélin, et 2400 manuscrits écrits en lettres minuscules (écriture cursive). Vous trouverez les cinq plus importants dans le tableau ci-après.

Premières traductions et versions

Peu de temps après que les livres du Nouveau Testament aient été écrits et mis en circulation, ils ont été traduits en plusieurs langues. Certaines de ces traductions sont apparues deux cents ans avant que le Codex Vaticanus. Elles sont par conséquent les premiers témoins de l’existence et de la forme du Nouveau Testament. Vous trouverez les cinq versions les plus importantes décrites dans le tableau ci-dessous.

Lectionnaires

Outre les manuscrits grecs, les diverses versions et les écrits des pères de l’église, il existe également 2 000 lectionnaires contenant des portions du Nouveau Testament. Ces recueils étaient utilisés pour la lecture publique des Ecritures dans les églises. Les plus vieux qui aient été retrouvés datent du sixième siècle.

Comme vous pouvez le voir, il existe au moins 4 600 manuscrits de certaines parties ou de l’ensemble du Nouveau Testament, et cela si l’on compte uniquement les papyrus grecs, les manuscrits sur parchemin et vélin et enfin les lectionnaires d’église.

Il est intéressant de comparer le Nouveau Testament à d’ autres ouvrages écrits à peu près en même temps, en examinant le nombre de manuscrits qui existent encore et leur âge. Nous citerons trois de ces ouvrages qui sont : Les annales de la Rome impériale de Tacite, La Guerre des Gaules de Jules César, et la Guerre avec Hannibal de Tite-Live. Ils traitent tous de l’histoire politique et militaire de l’empire romain. Voyez où se situe le Nouveau Testament en comparaison.

Il existe véritablement une abondance étonnante de manuscrits en ce qui concerne le Nouveau Testament. Les preuves fournies par le grand nombre de papyrus de parchemins et de vélins, de lectionnaires, de citations et de versions du Nouveau Testament et leur ancienneté nous conduisent à une conclusion inévitable : la vie, la mort et la résurrection de Christ sont les événements les mieux documentés de toute l’histoire ancienne.

Notre Nouveau Testament est digne de confiance

Pendant quatorze siècles, le Nouveau Testament a existé sous forme de manuscrits. La plupart de ces derniers ont été conservés dans de grandes églises ou dans des monastères d’Europe, alors que d’autres sont devenus la propriété d’hommes riches. Mais la situation a toutefois remarquablement changé lorsqu’en 1437, Johann Gutenberg a inventé l’imprimerie. La Bible a été le premier livre à être imprimé à Mayence, en Allemagne, en 1456—on lui donna le nom de Bible de Gutenberg. Ce fut là un événement d’une portée considérable. Au lieu d’être laborieusement copiées à la main, les Bibles pouvaient être reproduites par centaines, rapidement et à peu de frais. Chacun pouvait dès lors posséder une copie de l’Ancien et du Nouveau Testament.

La Bible a été traduite bien des fois. La plupart des versions modernes sont basées sur les meilleures interprétations de tous les manuscrits grecs dont on dispose. On relève quelques menues variations, sans grande importance, parmi ces différentes sources. Les différences réelles entre ces centaines de manuscrits grecs sont cependant si insignifiantes qu’ elles occuperaient moins des deux tiers d’une page du Nouveau Testament tout entier—un millième de son ensemble. Ce fait prouve que tous les manuscrits viennent de l’original. Il montre aussi que ceux qui ont recopié le Nouveau Testament l’ont fait avec le plus grand soin. Les textes s’accordent entre eux avec une telle précision que nous pouvons affirmer avec assurance que notre Nouveau Testament représente à tous égards les écrits originaux.

Il existe environ manuscrits d’ une ou de tout le Nouveau Testament alors qu’il existe 20 écrits de Tite-Live.

Les différences entre les manuscrits grecs occuperaient les deux tiers d’ une page de tout le Nouveau Testament.

La version sahidique du Nouveau Testament est apparue en l’ an 200 de notre ère.

Les papyrus 467 de Rylands (P52) datent de la première partie du second siècle.

5 300 portion

Aujourd’hui, vous et moi possédons le Nouveau Testament grâce au travail de plusieurs chrétiens fidèles et consacrés qui l’ont rédigé sous l’inspiration divine; on a d’abord ceux qui l’ont fidèlement recopié, conservé et qui nous l’ont retransmis, puis ceux qui ont patiemment comparé des centaines de manuscrits grecs afin de produire des versions modernes précises, et enfin ceux qui l’ont traduit en différentes langues. Nous avons là un trésor inestimable ! Le Nouveau Testament nous parle de notre Sauveur incomparable, du royaume merveilleux qu’il est venu établir, de la puissance qui est la nôtre afin que nous puissions le servir, et de la gloire qui sera notre partage auprès de lui éternellement. Etudions-le avec diligence. Prenons son message à cÏur. Enseignons-en les vérités à d’autres avec une pleine assurance, sachant que nous avons entre les mains la Parole de Dieu, une Parole vivante, active et capable de transformer les vies.