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Une étude du livre de Jacques

Nous vous encourageons à vous joindre à nous dans cette étude du livre de Jacques dans le Nouveau Testament. Cette série d'enseignements bibliques pratiques nous aidera à faire face aux problèmes et aux pressions du monde. Elle nous apprendra également à faire face à la tentation, à prendre des décisions sages, à contrôler notre langue et à gérer les conflits avec ceux qui nous entourent. Nous étudions également la prière et la manière dont nous pouvons prier pour nos problèmes.

Leçon 15. Prier pour les besoins. Jacques 5:13-20

Jacques 5:13-20: “Quelqu’un parmi vous est-il dans la souffrance? Qu’il prie. Quelqu’un est-il dans la joie? Qu’il chante des cantiques. Quelqu’un parmi vous est-il malade? Qu’il appelle les anciens de l’Église, et que les anciens prient pour lui, en l’oignant d’huile au nom du Seigneur; la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera; et s’il a commis des péchés, il lui sera pardonné. Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace. Élie était un homme de la même nature que nous: il pria avec instance pour qu’il ne plût point, et il ne tomba point de pluie sur la terre pendant trois ans et six mois. Puis il pria de nouveau, et le ciel donna de la pluie, et la terre produisit son fruit. Mes frères, si quelqu’un parmi vous s’est égaré loin de la vérité, et qu’un autre l’y ramène, qu’il sache que celui qui ramènera un pécheur de la voie où il s’était égaré sauvera une âme de la mort et couvrira une multitude de péchés.”

Jacques 5:16: “Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace.”

Le mot “prière:  est mentionné sept fois dans ce passage. C’est de cela qu’il s’agit.  

La prière.  Jacques avait la réputation d’être un homme de prière.  

La prière a un pouvoir énorme. La prière est le plus grand privilège de la vie chrétienne, la possibilité de parler à Dieu, et c’est le plus grand pouvoir de la vie chrétienne.  Ce que la prière peut faire, c’est ce que Dieu peut faire.  Tout ce que Dieu peut faire peut être fait par la prière.  

Jésus a dit dans Jean 14:12:  “En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père.”

Comment pouvons-nous faire des œuvres plus grandes que celles de Jésus?  Jésus a dit dans le verset dans ce passage que “c’est par la prière.”  Nous prions pour tout ce que nous demandons.  C’est notre plus grande responsabilité.  

C’est probablement notre plus grand échec dans la vie chrétienne. Nous parlons beaucoup de la prière, nous étudions la prière.  Beaucoup d’entre nous ne sont pas très satisfaits de leur vie de prière. 

Quand devrions-nous prier ?

 Jacques, dans ce passage, mentionne trois moments spécifiques où nous devons vraiment prier.

1.  Lorsque je souffre émotionnellement

Jacques 5:13:  “Quelqu’un parmi vous est-il dans la souffrance? Qu’il prie. Quelqu’un est-il dans la joie? Qu’il chante des cantiques.”

Le mot grec signifie littéralement “souffrir d’un malheur, être dans la détresse,” être sous pression, sous tension.  Dans Timothée, il est traduit par “épreuves.”

Il s’agit d’une détresse intérieure causée par des circonstances extérieures.  Il peut s’agir d’une crise financière, d’une crise relationnelle, de quelque chose d’extérieur, notre cœur se brise, la tension est à son comble, quand la vie devient difficile. 

David l’a dit dans le Psaume 18:4:  “Je m’écrie: Loué soit l’Éternel! Et je suis délivré de mes ennemis.”

Nous pouvons prier au sujet de nos problèmes – nos conditions financières si cela crée du stress dans nos vies.

Jacques 5:13:  “Quelqu’un parmi vous est-il dans la souffrance? Qu’il prie. Quelqu’un est-il dans la joie? Qu’il chante des cantiques.”

Avons-nous remarqué que la vie est une série de hauts et de bas entre la fête et la famine, les ennuis ou la joie?

Romains 12:15:  « Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent; pleurez avec ceux qui pleurent.”

2.  Lorsque nous souffrons physiquement, nous devons prier.

Jacques 5:14-15:  “Quelqu’un parmi vous est-il malade? Qu’il appelle les anciens de l’Église, et que les anciens prient pour lui, en l’oignant d’huile au nom du Seigneur;  la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera; et s’il a commis des péchés, il lui sera pardonné.”

 Le mot “malade” en grec signifie littéralement “sans force”.  

Nous sommes totalement épuisés, fatigués, alités, incapables de travailler.  

Bien qu’un rhume ou une grippe puisse être grave, Jacques parle ici de quelque chose de très sérieux.  

C’est le même mot qui décrit Lazare.  Lorsque Lazare est tombé malade, il est mort.  C’est le même mot qui décrit Dorcas, et elle est morte.  Et c’est le même mot qui décrit l’homme à la piscine de Béthesda qui est resté assis pendant des années et des années et qui n’avait pas assez d’énergie pour se lever et entrer dans la piscine.  

Jacques parle ici d’une maladie grave. Lorsque nous n’avons plus besoin de l’aide d’un médecin, nous prions.  Les anciens de l’église doivent venir prier sur lui et l’oindre d’huile.

La Bible enseigne qu’il y a trois sortes de maladies différentes.  

Aujourd’hui, on enseigne beaucoup de choses sur la guérison. 

La Bible dit qu’il y a d’abord la maladie de la mort.

1 Jean 5:16:  “Si quelqu’un voit son frère commettre un péché qui ne mène point à la mort, qu’il prie, et Dieu donnera la vie à ce frère, il l’a donnera à ceux qui commettent un péché qui ne mène point à la mort. Il y a un péché qui mène à la mort; ce n’est pas pour ce péché-là que je dis de prier.”

C’est ce genre de maladie que Dieu permet d’emporter à la maison pour être avec Lui.  Il y a des maladies dont on ne se remet jamais.  Il y aura un jour une maladie dont nous ne nous remettrons pas parce que Dieu ne veut pas que nous vivions indéfiniment.  

Si toutes les maladies pouvaient être guéries par la foi, tous ceux qui ont beaucoup de foi ne mourraient jamais.  Il y a une maladie pour nous ramener à la maison. 

Il y a aussi une maladie pour la discipline.  

Le but de la maladie est la discipline, qui est abordée dans 1 Corinthiens 11:28-32, où ils abusaient de la Cène.  Paul a dit que c’est parce qu’ils abusaient de la Cène que certains d’entre eux étaient malades.  

Le Seigneur nous discipline parce que nous sommes en dehors de la volonté de Dieu. Lorsque nous péchons, cela amène la maladie dans nos vies.

Le troisième type de maladie est la maladie pour la gloire de Dieu. 

La maladie pour la gloire de Dieu est une maladie que Dieu a permise dans notre vie simplement parce qu’il veut nous en guérir et en faire un témoignage pour le monde.  

Jean 11:4:  “Après avoir entendu cela, Jésus dit: Cette maladie n’est point à la mort; mais elle est pour la gloire de Dieu, afin que le Fils de Dieu soit glorifié par elle.”

Jésus guérit l’homme et cela rendit gloire à Dieu.

Il y a trois sortes de maladies : la maladie pour la mort, la maladie pour la discipline, la maladie pour la gloire de Dieu.  La dernière est celle que Dieu veut guérir. 

Que dit Jacques quand nous sommes malades ?  

Jacques 5:14:  “Quelqu’un parmi vous est-il malade? Qu’il appelle les anciens de l’Église, et que les anciens prient pour lui, en l’oignant d’huile au nom du Seigneur.”

Nous devons appeler les anciens de l’église.  

Qui fait l’appel ?  La personne malade.  Jacques parle d’une visite à domicile. Si nous sommes tellement malades que nous ne pouvons pas sortir du lit, nous appelons les leaders spirituels à venir chez nous et nous leur demandons de prier pour nous. 

 C’est la personne malade qui prend l’initiative.  Si nous n’appelons pas les anciens de l’église, comment le sauront-ils ?  Le mot “malade” fait référence à une maladie mortelle. 

“Appelez les anciens de l’Église pour qu’ils prient sur lui.”

L’homme est probablement au lit, alors ils prient pour lui.  

Il est gravement malade. 

“Et oignez-le d’huile.”

L’huile est un symbole du Saint-Esprit, comme beaucoup de symboles dans les Écritures.  

Lorsque nous baptisons avec de l’eau, l’eau est un symbole de l’ensevelissement.  Lorsque nous prenons la sainte cène, le jus est un symbole du sang.  

Tout au long de la Bible, l’huile est utilisée comme symbole du Saint-Esprit.  

L’accent est mis sur le pouvoir de la prière et non sur le pouvoir de l’huile.  Ce n’était qu’un symbole à utiliser.

“Au nom du Seigneur.”

C’est Dieu qui guérit, et non une personne.  Le nom représente le caractère du Seigneur.  Toute guérison est basée sur le caractère de Dieu.

Les résultats?

Jacques 5:15:  “la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera; et s’il a commis des péchés, il lui sera pardonné.”

3.  Lorsque nous souffrons spirituellement, nous devons prier.

Jacques 5:16:  “Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace.”

À l’époque de Jésus et dans de nombreux endroits aujourd’hui, on enseigne que toute maladie est le résultat du péché. Si nous sommes malades, c’est que nous avons probablement commis un péché caché dans notre vie.  Si nous nous confessons et que nous sommes toujours malades, c’est que nous avons encore un autre péché caché.  

Jésus a réfuté cette idée dans Jean 9, lorsqu’il a dit à l’homme qui était né aveugle que personne n’avait péché. 

Nous vivons dans un monde déchu et une partie du problème est qu’il y a des blessures et des problèmes.

D’un autre côté, Jésus a enseigné qu’une grande partie des maladies que nous provoquons dans nos vies, nous les provoquons nous-mêmes.  Si nous ne suivons pas les principes de Dieu, notre corps va tomber malade.

Si nous ne prenons pas soin de notre corps, si nous ne mangeons pas bien, si nous ne dormons pas bien, si nous ne faisons pas d’exercice, alors toutes sortes de maladies nous atteindront.

Un pasteur a raconté cette histoire:

Il y a de nombreuses années, j’ai été invité à voir un homme qui était paralysé à partir de la taille et qui n’était pas allé à l’église depuis environ neuf mois. J’ai commencé à parler avec lui et c’était un homme très amer, plein de ressentiment.

Une vache lui avait donné un coup de pied dans le dos et l’avait paralysé. Il était amer contre les membres qui ne lui avaient pas rendu visite, amer contre la compagnie d’assurance qui n’avait pas payé, amer contre le médecin qui n’avait pas trouvé le moyen de le faire marcher, amer contre la vache, amer contre Dieu. Il était très rancunier.

Je lui ai dit : “Dieu veut peut-être vous guérir et vous rendre la pleine santé, mais il ne vous guérira pas tant que vous ne vous serez pas débarrassé de ce ressentiment dans votre vie.”

Je me souviens qu’il a baissé la tête et s’est mis à pleurer, de façon presque incontrôlable, en sanglots profonds: “Dieu, je suis si amer. Fais sortir de moi toute la colère et la haine.” 

Il a pleuré pendant une dizaine de minutes. J’ai prié avec lui et je suis parti.

Le lendemain, l’homme est venu à l’église, en fauteuil roulant, pour la première fois depuis neuf mois. À la fin du service, j’ai invité les personnes qui le souhaitaient à venir prier. 

L’homme s’est levé de son fauteuil roulant et s’est avancé, remettant sa vie entre les mains du Seigneur.

Que s’est-il passé ? 

Il y avait un blocage dans sa vie qui empêchait Dieu de faire ce qu’il voulait faire dans sa vie. Lorsqu’il s’est repris en main sur le plan spirituel, tout s’est mis en place. 

Nous sommes un tout – physique, émotionnel, spirituel.  Lorsque le spirituel n’est pas synchronisé, il affecte nos émotions.  Lorsque nos émotions sont désynchronisées, notre corps s’en ressent.  Nous parlons de maladies psychosomatiques.  Elles sont réelles, mais elles viennent de l’intérieur de nous-mêmes.

Pourquoi tout le monde n’est-il pas guéri ?  Nous ne le savons pas.  Dieu a le pouvoir, mais ce n’est pas son but dans les différentes situations.  Dieu a toujours le pouvoir de guérir, mais ce n’est pas toujours son but.  

Un exemple clair de cela est Paul, dans 1 Corinthiens.  Il est dit que Paul a prié trois fois pour que Dieu guérisse un problème dans sa vie, mais trois fois Dieu a dit « Non, j’ai un meilleur plan pour toi ».

Quelle est la condition de la guérison ?  Confesser.  

Nous préférons dissimuler et camoufler nos péchés plutôt que de les confesser.  C’est une expérience libératrice que de confesser nos péchés, de les extérioriser et de les partager, non seulement avec le Seigneur, mais aussi avec les autres.  

Révéler nos sentiments est le début de la guérison.  

Nous devons nous confesser les uns aux autres.

Cela signifie-t-il que nous devons nous lever et nous confesser à toute l’église ?  Il existe un principe de cercle de confession. 

Il ne faut se confesser que dans la mesure où cela concerne d’autres personnes. Si nous avons un péché privé, entre nous et le Seigneur, nous devons le confesser au Seigneur.  

S’il s’agit d’un péché personnel, entre vous et moi, je dois venir vous voir.  

S’il s’agit d’un péché public, nous devons nous excuser auprès de toute l’Église.  

Il dit de confesser nos péchés, pas de les diffuser.  Si cela concerne quelqu’un d’autre, nous devons nous adresser à quelqu’un d’autre.  

Il devrait y avoir au moins une personne – mari, femme, pasteur, ami – avec laquelle nous pouvons tout partager et savoir que nous serons aimés et acceptés inconditionnellement.  

Job 6:14:  “Celui qui souffre a droit à la compassion de son ami, Même quand il abandonnerait la crainte du Tout Puissant.”

Il a besoin de quelqu’un qui le soutienne et l’accompagne dans cette période de doute jusqu’à la foi. 

Quand devons-nous prier?  Jacques dit que nous pouvons prier chaque fois que nous avons un besoin – un besoin physique, un besoin émotionnel, un besoin matériel. 

Quoi qu’il en soit, nous devons prier. 

Qui peut prier pour la guérison ?

Certaines personnes pensent qu’il faut être un géant spirituel pour prier et obtenir ce genre de réponses.  « Je ne pourrais jamais prier et voir quelqu’un guérir » ou « Je ne pourrais jamais prier et voir un miracle financier ». 

De nombreux chrétiens se sentent inférieurs.  Jacques utilise Elie comme illustration.  

Jacques 5:17-18:  “Élie était un homme de la même nature que nous: il pria avec instance pour qu’il ne plût point, et il ne tomba point de pluie sur la terre pendant trois ans et six mois. Puis il pria de nouveau, et le ciel donna de la pluie, et la terre produisit son fruit.”

Dans I Rois 19, Élie a peur d’une femme nommée Jézabel.  

Il court de l’autre côté du désert, traverse une période de dépression et prie : “Dieu, tue-moi.  Je suis tellement déprimé.”

Il n’avait pas peur des 400 prophètes de Baal, mais il fuyait une femme nommée Jézabel.  Dans I Rois 19 – les dix premiers versets – Élie a fait preuve de peur, de ressentiment, de culpabilité, de colère, de solitude et d’inquiétude.  

Nous savons maintenant pourquoi il est dit : “Élie était un homme comme nous.”

Nous avons la colère, la peur, le ressentiment, l’inquiétude, la solitude.

La leçon de la vie d’Elie est que nous n’avons pas besoin d’être parfaits pour prier.  

Nous n’avons pas besoin d’être parfaits pour voir des réponses à nos prières.  C’est pour les gens ordinaires.  

Dans I Rois 18, Élie s’est retrouvé seul avec Dieu et s’est humilié en priant pour qu’il pleuve.  Il est dit qu’il a prié sept fois.  Il était persévérant.  Il n’a pas abandonné.  Un jour, un petit nuage s’est formé dans le ciel et il a dit : « Il va pleuvoir à verse ! »  Les pluies sont arrivées et ont inondé l’endroit.

Dieu utilise des gens ordinaires pour faire des choses extraordinaires grâce à la prière.

Comment pouvons-nous prier efficacement ?

Nous devons demander.

Cela semble simple, mais dans beaucoup de nos prières, nous ne demandons jamais rien.  

Nous ne prions jamais de manière spécifique.  Plus nos prières sont spécifiques, plus nous serons bénis par la réponse. 

Nous devons demander avec le bon motif. 

Jacques 4:3:  “Vous demandez, et vous ne recevez pas, parce que vous demandez mal, dans le but de satisfaire vos passions.”

Si nous demandons dans la prière, nous devons nous assurer que nos motifs sont justes.  Non pas par égoïsme, mais pour une raison authentique : la gloire de Dieu.

Nous devons demander en menant une vie juste.

Jacques 5:16:  “Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace.”

Nous ne parlons pas de perfection. Nous parlons de justice.  La justice est notre position devant Dieu lorsque nous sommes devenus croyants.  

Elle n’a rien à voir avec notre perfection. Si Dieu ne répondait qu’aux prières des personnes parfaites, combien de prières seraient exaucées ?  Aucune.  

Mais Dieu veut que nous ayons une vie pure.  

Psaume 66:18:  “Si j’avais conçu l’iniquité dans mon coeur, Le Seigneur ne m’aurait pas exaucé.”

Proverbes 28:9:  “Si quelqu’un détourne l’oreille pour ne pas écouter la loi, Sa prière même est une abomination.”

Isaïe 59:2:  “Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation Entre vous et votre Dieu; Ce sont vos péchés qui vous cachent sa face Et l’empêchent de vous écouter.”

Nous devons demander avec foi.

Attendons une réponse. 

Jacques 1:6:  « Mais qu’il l’a demande avec foi, sans douter; car celui qui doute est semblable au flot de la mer, agité par le vent et poussé de côté et d’autre. »

Lorsque nous nous adressons à Dieu, croyons qu’il veut répondre à notre prière.  Faisons-lui confiance.  Ne doutons pas.  Croyons vraiment.